C'est une nuit d'orage qui a bouleversé nos coeurs (JeanxMarco).

Chapitre 3 : Tout devint alors plus calme.

Chapitre final

4226 mots, Catégorie: M

Dernière mise à jour 09/11/2016 18:17

- Il s’est passé quelque chose cette nuit ?

- …

Jean resta figé. Comment était-il supposé répondre à ça ? Et s’il lui répondait franchement, que serait sa réaction ? Allait-il s’énerver ? Être dégouté ? Il commençait sérieusement à paniquer en ne sachant pas quoi faire. Le silence dura plusieurs minutes ce qui sembla une éternité pour lui. Jusqu’à ce que Marco le ramène à la réalité.

 - … Jean, je vois bien que quelque chose ne va pas, soupira-t-il. Mais si tu ne me racontes pas ce qui se passe, comment veux-tu que je t’aide ? En plus, j’ai l’impression d’être un peu fautif …

- Non ! le coupa Jean. Non, pas du tout, tu n’as rien à voir … enfin, je veux dire …

Jean ne voit vraiment pas comment tourner les choses sous un bon angle, c’était une question qui devenait trop sérieuse. Et lui qui a toujours l’habitude d’agir par instinct, se retrouvait bloqué.

- C’est à propos de ce qui s’est passé hier, n’est-ce pas ? Je suis vraiment désolé, je n’aurais pas dû te demander ça. J’aurais dû pourtant me douter que ce n’était pas dans tes habitudes. Je suis vraiment désolé Jean.

Quand Marco releva la tête, après avoir fait ses excuses des plus sincères. Il resta un moment stupéfié par ce qu’il voyait. Jean était entièrement rouge, les mains dans les poches et n’osait même pas le regarder dans les yeux. C’est à ce moment alors, que Marco sut d’où venait le problème.

- Oh non ! C’est pas vrai, ne me dis pas que … que j’ai fait un truc bizarre cette nuit, pendant qu’on dormait ?

Jean leva droit les yeux sur lui, avant de vite les détourner. Il venait de taper dans le mille.

- Oh non, non ! Qu’est-ce que j’ai fait ? Jean je suis vraiment désolé. Qu’est-ce qui s’est passé ? Dis-moi.

Marco s’avança d’un pas pour se rapprocher de Jean, mais celui-ci au contraire recula. Marco se figea, ses pires peurs étaient en train de se réaliser. Pendant ce temps Jean débattait toujours avec lui-même, en ne sachant que faire. Une partie de lui disait de tout balancer et il verrait bien ce qui se passerait et une autre lui disait de ne rien dire pour ne pas le blesser. Lorsqu’il vit Marco s’agenouillait par terre, les mains sur le visage et qui commençait à sangloter. Son cœur ne fit qu’un bon et son corps réagissat tout seul.

- Marco ! Mais qu’est-ce que tu fais ? Relève-toi !

- Je suis vraiment désolé, Jean.

- Mais, pourquoi tu t’excuses, tu ne sais même pas ce que tu as fait !

- Mais à ta réaction, j’ai dût te faire quelque chose d’horrible, je suis vraiment désolé.

Ils ne pouvaient pas rester comme ça. Jean n’avait pas le choix, il devait se jeter à l’eau.

- Bon, d’accord,  je vais tout expliquer, mais ne me regarde pas d’accord ?

- Oui …

Jean s’assit alors contre le dos de Marco, les joues déjà en feu par le discours qu’il allait interpréter. Il lui raconta tout, tout dans les détails, du moins ce qu’il s’en souvenait. Il sentit Marco se pétrifier, lorsqu’il lui dit que tous les deux avaient eu une réaction et que lui avait dut se soulager dans les toilettes. Une fois terminé, Jean était essoufflé, il avait l’impression d’avoir couru pendant des heures alors qu’il n’avait parlé qu’une dizaine de minute. Il se retourna pour voir la réaction de Marco et fut légèrement surpris de voir celui-ci aussi rouge que lui, et soulager de le voir ni en colère ni dégouté. Il attendit la réponse de Marco, mais elle ne vint pas, alors il se déplaça pour se mettre face à lui.

- Je croyais que tu ne voulais pas que je te regarde ? demanda Marco.

- Ouais, mais comme tu ne réponds pas, je m’impatiente.

- Qu’est-ce que tu en penses toi ?

- Euh … Franchement, je ne sais pas, je suis vraiment confus. Par contre il y a une chose qui m’irrite et que je veux savoir : tu as rêvé de qui cette nuit et tu faisais quoi avec pour avoir une réaction pareille ?

Alors là, Marco resta bouche bée, c’était Connie qui était censé n’avoir aucune clairvoyance, pas lui. Il avait pourtant bien dit qu’il l’avait entendu cette nuit prononcer son nom, et avec ce qui s’est passé il devrait savoir. Il resta un moment à penser, réfléchissant à un moyen de lui expliquer sans le choquer. Marco se rapprocha le plus près possible de Jean.

- Je t’aime Jean.

Il dut attendre un autre petit moment avant que l’être aimé réagisse.

- Quoi ?!

- Cette nuit, j’ai rêvé de toi et que je te faisais l’amour. D’habitude j’essaie de ne pas y penser mais le fait que tu dormes avec moi, ben …

- Attend, tu veux dire que tu es amoureux de moi ? Comme un homme aime une femme ?

- Oui.

- C’est possible ?

- Mais évidemment que c’est possible, Jean ! Puisque je te dis que je t’aime ! dit-il en s’énervant légèrement.

- Ah, euh oui, désolé.

Jean se sentit bête, car oui c’était tout à fait possible, mais il n’arrivait pas à digérer l’information. Marco l’aimait, mais lui, il ne savait pas du tout ce qu’il ressentait. Il pensait être intéressé par Mikasa, mais quand il a appris qu’elle n’avait d’yeux que pour Eren, il avait laissé tomber. Il devait vite trouver une réponse car Marco l’observait intensément et cela le gênait. Quand soudain, il sentit quelque chose de chaud et de doux se poser sur ses lèvres. Marco était en train de l’embrasser. Celui-ci s’écarta pour voir la réaction de Jean, et sourit légèrement en le voyant la bouche grande ouverte et les globes oculaires écarquillés. Il recommença donc l’opération, en prenant sa non-réaction comme une invitation. Il lui mordilla légèrement la lèvre inférieure, avant de pénétrer langoureusement sa langue à l’intérieur. Il explora d’abord la dentition parfaite du propriétaire et ensuite il s’attaqua à sa langue, qu’il dévora. Jean avait fermé les yeux et profitait du moment. Sa tête tournait, il ne savait plus où il était, ni qui il était. La seule chose qu’il savait c’est qu’il passait un instant merveilleux. Sa langue bougea alors toute seule pour à son tour câliner celle de Marco, il fut répondu par un sourire et redoubla d’ardeur. Le baiser se termina lorsque tous les deux furent à bout de souffle.

- Alors, est-ce que je dois en déduire que tu m’aimes aussi Jean ?

- Je … ne sais pas.

- Dans ce cas, j’attendrais ta réponse ce soir.

La cloche pour la reprise de l’entrainement venait juste de sonner. Alors Marco se leva et retourna vers le camp. Jean se gratta la tête, pensant vraiment qu’aujourd’hui était un sacré jour et se leva à son tour. Il se sentit un peu soulagé quand il vit qu’il ne se mettrait pas avec Marco pour l’exercice, il se mit alors avec Armin. Qui d’ailleurs semblait légèrement amusé.

- Tu vas bien, Jean ?

- Euh, oui oui. Et toi ?

- Je vais bien, merci. En tout cas c’est sûr tu as l’air mieux que tout à l’heure.

- Ah, tu trouves.

- Oui !

Il ne savait pas ce qui se trottait dans la tête d’Armin [en même temps, qui sait] mais il avait une mauvaise impression. Il ne serait quand même pas au courant de ce qui se passait ou dans le pire des cas, il ne les aurait pas vu tout à l’heure. Non, ce n’était pas possible, sinon il ne serait pas aussi naturel. Jean se tourna alors vers le blondinet.

- Dis, Armin. Tu en penses quoi toi de deux hommes qui s’aiment ?

- Tu veux dire comme un homme et une femme s’aiment ?

- Oui !

Armin s’arrêta un instant, pour se retenir de rire. Jean et Eren se ressemblaient sur un point, il était aussi facile de lire en eux que dans un livre ouvert.

- C’est sûr ce n’est pas commun, mais je pense que c’est tout à fait acceptable puisque l’amour ne se limite pas à un genre car sinon on aimerait tous les mêmes choses de la même manière.

- Je vois.

Armin attendit quelques minutes, pour laisser le temps à Jean de réfléchir. Puis ils commencèrent enfin l’entraînement. Du côté d’Eren et Marco, ça ne chômait pas non plus. Eren avait plus ou moins la même agressivité que Jean et Marco devait bien se concentrer pour pouvoir suivre. Jusqu’à ce que Marco tombe au sol, ils décidèrent donc de faire une pause.

- Au faite Marco, toi et Jean vous allez bien ?

- Euh, oui … ça va. Pourquoi ?

- Ben, je sais pas, vous êtes dans la lune aujourd’hui, surtout lui.

- Ah, c’est gentil de t’inquiéter.

- Ah ! Attend, confond pas, je ne m’inquiète pas du tout pour lui. C’est juste que si vous continuez comme ça, vous risquez de vous faire expulser.

- Oui, mais c’est bon, c’est juste que à cause des orages d’hier soir on a très mal dormi.

- Jean a peur des orages ?

- Euh, non. C’est moi … Jean m’a juste aidé à me calmer.

- Il a fait ça lui ?

- Oui

- Et ben, je n’aurais jamais cru ça, tiens. Il doit vraiment tenir à toi.

- Tu crois ?

- Ben, ouais.

- Mais tu sais, il a un bon fond. C’est vraiment quelqu’un de gentil.

- Ouais, si tu le dis … Bon, on y retourne parce que c’est pas en bavardant par terre qu’on va réussir à terrasser du titan.

- Oui, allons-y.

Eren aida Marco à se relever et ils reprirent l’exercice. Mais, n’importe qui s’il faisait suffisamment intention, pouvait voir Marco avec un joli sourire aux lèvres et tout fière par ce que lui avait dit la tête brulée de la bande. Quelques heures plus tard l’entraînement prit fin. Et chacun partirent prendre une douche avant d’aller au self. La soirée se passa plus ou moins sans encombre : Eren chercha encore des noises à Jean, Marco et Armin s’interposaient pour les séparer, Ymir les calmèrent et tenait Reiner et Berthold à l’écart d’Historia, et Mikasa ne donna pas une fois de plus son pain à Sasha.

Quand le temps fut enfin venu que chacun aille se coucher, tout le monde se souhaita la bonne nuit et se séparèrent pour rejoindre le lit qui les attendaient. Jean s’inquiétait alors, car il n’avait toujours aucune réponse à donner à Marco. Alors que celui-ci marchait, tout content assez rapidement à la chambre. Quand Jean rentra dans la pièce, Marco l’attendit en plein milieu. Jean s’avança encore un peu et affronta Marco du regard.

- Alors quel est ta réponse ?

- Ben, en fait, je ne sais vraiment pas ce que je ressens pour toi. Désolé.

Marco fronça les sourcils et se rapprocha de lui, même s’il était d’ailleurs soulager de voir qu’il ne reculait pas ça ne l’empêchait pas d’être un peu énerver par ce comportement très enfantin.

- Dans ce cas, je vais te poser quelques questions, d’accord ?

- Euh, oui.

- Qu’est-ce que tu ressens pour moi ?

- Mais, je te l’ai dit, je ne sais pas …

- Si tu ne peux pas me le dire avec un mot précis alors décris le moi.

Jean qui comprenait enfin ce que lui demandait Marco, prit son temps pour bien réfléchir cette fois-ci et pour se faire comprendre.

- J’ai envie de te protéger tout le temps. Tu es quelqu’un de très important pour moi. Je me sens heureux quand tu souris et triste quand tu pleures. Et, j’avoue parfois ça m’énerve quand tu parles trop souvent avec Armin.

- C’est un bon début.

- Oui, mais c’est de l’amitié.

- En quelque sorte, oui. Dans ce cas, dis-moi ou plutôt décris-moi ce que tu as ressenti tout à l’heure quand on s’est embrassé.

Jean rougissa de nouveau et Marco qui le trouvait vraiment adorable, se demanda alors comment un grand gaillard comme lui pouvait être aussi gêné.

- Alors ?

- Attend, je réfléchis.

Jean se concentra un moment avant de dire.

- J’ai trouvé ça agréable.

- Et penses-tu que si tu me considérais simplement comme un ami, tu aurais trouvé ça agréable ?

- Euh … non.

- Bon, alors tu m’aimes !

- …

- Jean ?

- Oui ?

- Dis que tu m’aimes.

- Ah, euh …

Marco était vraiment heureux, lui qui avait eu le coup de foudre dès qu’il avait rencontré Jean et qui avait eu peur de sa réaction, se sentit au paradis. C’est alors avec un sourire aux lèvres qu’il s’approcha de Jean et lui caressa la joue. Puis il l’embrassa fougueusement comme il en avait tant rêvé. Sa langue chercha désespérément celle de sa moitié qui lui répondit avec la même fougue, à son plus grand bonheur. Il fit en sorte de conduire doucement Jean sur le lit, avant de lui dévorer le cou. Il remonta jusqu’à son oreille pour lui murmurer combien il l’aimait et à quel point il avait espéré cet instant et il fut répondu par un râle très provocant. Alors ne tenant plus, il enleva les habits de son partenaire de sorte à ce qu’il ne lui reste que son sous-vêtement. Jean qui ne voulait pas être seul dans cette situation lui enleva son haut. Marco ne put résister à l’appel des deux petits boutons roses sur le torse de son compagnon. Il les caressa, les titilla et lorsqu’il mit celui de droite sur ces lèvres, Jean se cambra et lâcha un petit cri avant de replonger dans le cou de celui qui le torturait. Il n’en pouvait plus, il se laissait complétement faire et dans un moment de lucidité il se demanda où Marco avait appris tout ça. Ce dernier continuait de jouer avec ses tétons, avant de plonger une main curieuse dans son caleçon. Jean se paralysa un moment, le souffle coupé, mais comme il ne disait rien, la main continua son périple dans son intimité. Marco eut un petit sourire de satisfaction quand il sentit que Jean avait très bien réagit à ses caresses, mais il sursauta de surprise quand il sentit qu’une main un peu plus hésitante œuvrait de la même manière dans son pantalon. Complétement heureux, il durcit d’avantage et embrassa tendrement Jean. Marco commença alors des va et viens avec sa main sur l’anatomie de son amant qui se cambra de plaisir. Ce petit manège dura un certain moment avant que l’expert allonge entièrement sa victime sur le lit et déposa un doux baiser sur la verge dressé de ce-dernier. Il fut répondu par un petit cri, vraiment trop mignon à ses oreilles et alors il mit l’objet du désir entièrement en bouche. Jean toujours rouge de gêne, ne savait pas quoi faire, il se retenait un moment déjà pour ne pas ainsi dire exploser. Et donc n’arrivant plus à se contrôler, il voulait arrêter les mouvements de son tendre ami mais une fois en contact avec ces cheveux noirs et soyeux, il ne put s’y résoudre et s’y accrocha. Marco qui voyait bien qu’il n’allait plus tenir longtemps, joua d’avantage avec sa langue pour faire venir son amant. Soudain, une grande force lui repoussa la tête en arrière et un filet blanc s’échappa de l’anatomie traitée. Jean tout haletant et pensant que c’était enfin fini, ne remarqua pas que son cher amant était en train de finir de se déshabiller et d’enlever le caleçon qui lui restait. Ce-dernier justement humidifié chacun de ses doigts avant d’en faire rentrer un dans l’intimité la plus profonde se son amant. Jean se releva brusquement et commençait à riposter légèrement, il fut de nouveau répondu par un baiser qui le mit sans défense. Marco entra alors un doigt de plus et effectua quelques mouvements de ciseaux et lorsqu’il sut que Jean était plus ou moins enfin prêt. Alors, il pénétra avec une grande douceur l’intimité la plus secrète de son amour. Jean cria face à la douleur qu’il ressentait, ça faisait vraiment trop mal mais il décida de faire confiance à Marco. Il n’en revenait tout de même pas de ce qui se passait et ne pouvait pas y croire mais c’était aussi tellement agréable de voir avec quel douceur Marco l’aimait. A présent, il était vraiment sûr de ce qu’il ressentait pour lui, il l’aimait, peut-être pas aussi fort que lui, mais il l’aimait aussi et c’était tout ce qui comptait. Il fut de nouveau ramener à la réalité par une douleur beaucoup plus grande que la première. Marco s’excusa alors par sa maladresse mais lui dit avec fierté que tout était enfin dedans et que c’était maintenant que les choses allait s’accélérer. Jean prit un peu peur mais face au regard passionné de son tendre amour, il ne dit rien et hocha la tête en signe de son consentement. Il fut répondu par un magnifique sourire et un baiser très doux. Marco commença donc la nouvelle opération, c’était encore mieux que dans ses rêves et il se demandait comment il avait fait pour ne pas craquer avant. Il sentit Jean réagir quand il arrivait à une certaine hauteur et accentua donc d’avantage sur cette partie ce qui fit lâcher des cris encore plus excitant à ce-dernier. Marco qui commençait à manquer de souffle, sentit alors qu’il allait bientôt venir. Il fut bien étonné quand il vit les bras de Jean se serrer autour de ses épaules et son visage se rapprocher du sien. Jean mit ses lèvres au bord de son oreille et lui susurra enfin les mots qu’il désirait tant. Ce qui entraina une rigueur plus forte et ils se libérèrent tous les deux au même instant dans un cri. Marco embrassa alors de nouveau Jean.

- Je t’aime tellement, Jean.

- Moi aussi, Marco.

Epuisé tous les deux par leur débat, ils s’endormirent heureux dans les bras de l’autre.

------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------Bonjour ou Bonsoir. C'est avec ceci que se termine ma première fiction, (*^_^*) N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez. Je dois avouer que à un moment j'ai hésité à mettre Marco en uke parce que j'ai l'impression que ce n'est pas trop son caractère quand même. Enfin puisqu'on ne sait pas grand chose sur lui à la base, je me dis quand même que ça passe et que c'est donc tout à fait possible ! ^_^ Et puis il aurait fallut tout rechanger les noms à chaque fois ce qui donc changerait toute l'histoire. En tout cas comme ça change un peu, je pense que c'est bien. Merci beaucoup pour avoir lu cette fic et j'espère vous retrouver dans une prochaine. Bye bye, bou !                                                                              Nehell.

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