Lien du sang

Chapitre 1:

Des cries... Des larmes... Des pleurs... Un flash apparus derrière ses paupières clause: Un couple de quarantenaire, allonger sur le grand tapis rouge de leur salon, se tordant de douleur. Une jeune adolescente à genou, pleurant criant en silence. Des silhouette encapuchonné arborant des masque d'argent, riant à gorge déployé. L'adolescente se lève. Elle les regarde sans les voir, une lueur de haine et de vengeance brillant dans ses iris ambré, baigné de larme argenté. Un nuage obscur, s'insinuant dans l'organisme de ses agresseurs. Un cris de rage sortant de sa propre bouche, suivit de plusieurs autres de douleurs. Des morts. L'adolescente retombant à genou.

Hermione rouvrit ses paupières, elle scruta de son regard vide le compartiment qu'elle s'était trouvé. Elle repartais à Poudlard pour sa sixième année et pour la première fois de sa vie, elle ne ressentais pas la peur et l’appréhension qu'elle ressentais à chaque rentrée, ni l'envie de revoir ses amis après deux longs mois de séparation, et encore moins l'étrange excitation qui s'emparait d'elle à chaque fois qu'elle étais sur le point d'acquérir de nouvelle connaissances. Elle ne ressentais plus rien. Elle n'étais plus qu'une coquille vide, plus que l'ombre d'elle-même perdu dans les ténèbres de l'enfer. L'enfer de vivre sans ses proches, sans sa famille adoré.

Alors, faisant fit de l’étau lui enserrant le cœur et de l'étrange boule coincé au fond de sa gorge, Hermione souffla un bon coup, et lorsque la porte de son compartiment s'ouvrit à la volé pour laisser entrée ses amis: Harry Potter, Ronnald et Ginnevra Weasley, Nevil Londubat et Luna lovegood, elle étira ses lèvres en un sourire étincelant, avant de tous les prendre dans ses bras, comme elle l'aurais fait avant. Pourtant, elle ne ressentais même plus cette chaleur lorsqu'elle étais en leur présence. Désormais, elle ne ressentais plus que le vide et la solitude, depuis maintenant un mois.

_Tu nous à manquer Hermione ! S'exclama Harry, un immense sourire chaleureux plaquer au visage.

_Vous aussi vous m'avez manquez ! Avoua-t-elle, souriant de toute ses dents.

Une ombre passa dans ses iris ambré, elle mentais. Un horrible mensonge qui l'aurais presque faite vomir si elle n'avais pas eue son rôle à jouer. La vérité c'est qu'elle n'avais plus penser à eux une seules secondes, du moins, plus depuis le drame. Mais ça, jamais elle ne l'avouerais, alors elle continuerais à faire semblant. Elle avais déjà beaucoup à penser autre que la mort de sa famille adoptif, il y avais les cauchemars d'Harry, les problèmes de cœur de Ginny et les crises de nerfs de Ronnald. Elle savais qu'elle ne faisait que se voiler la face, mais elle ne voulais plus penser à cette histoire. Elle ne voulais plus se réveiller chaque matin, les yeux rougit et gonflé d'avoir trop pleuré, repensent à la bonté de ses parents qui avais fait l'erreur de l'adopter, de l'aimais et de la chérir, pour ne récolter qu'en échange, qu'une mort horrible et dévastatrice. De par sa nature sorcière, elle les avais sciemment mis en danger en restant avec eux. Et elle se détester chaque minutes, chaque secondes de sa vie pour cela.

_Tu as passer de bonne vacances Mione ? Questionna Ginny, de sa douce voix féminine.

_Tes parents vont biens ? Renchérit Ron, ne s’apercevant pas de la souffrance traversant le regard de sa meilleure amie.

De nouveaux flash vinrent s'incruster sous ses paupière: La lueur de dément dans le regard de ses parents adoptifs, leurs cris de douleur déchirant les ténèbres de la nuit, ses larmes dévalant ses joues rougis face à son impuissance, et... Ce nuage de ténèbres s'insinuant sournoisement dans l'organisme des mangemorts, ne laissant derrière lui que des corps sans vie. Personne ne se rendit compte de son sourire forcé, ni de l'appel à l'aide silencieux qui s'illumina dans son regard éteint, et encore moins de ses iris ambré brillant étrangement signe avant coureur d'une éventuelle crise de larmes, crise de larmes qui se déversera tranquillement à l'abri des regards indiscret.

_Super ! S'écria-t-elle d'un ton faussement enjoué. D'ailleurs, ils vous passe à tous le bonjour ! Mentit-elle encore une fois, non sans un léger pincement au cœur. Et vous, vos vacances ?

_Excellente ! S’enthousiasma Nevil. Je les ais passer dans un stage de botanique ! Et vous ne savez pas le meilleur ?! Figurez-vous que...

Mais Hermione ne l'écouté déjà plus, obnubiler par sa souffrance intérieur. Serrant discrètement un étrange médaillons argenté, reposant dans le creux de la poche droite de son blouson.

                          OOO

Allonger dans un des compartiment du Poudlard Express, ses bras croisé derrière sa chevelure blonde, Drago Malfoy profitait d'être seul pour une fois afin de réfléchir. Les vacances qu'il venais de passer étais de loin les pires vacances qu'un ado de 16ans pouvais passer selon-lui. Son monde s'était écrouler sous ses yeux, sans qu'il ne puisse rien y faire. Ses idéaux et ses préjuger venais de partir en fumée. Tendit que son ego, sa fierté, sa confiance en lui et son arrogance avaient étaient traînait dans la boue, avant de s'être vus piétiner par un troupeau d’hippogriffe enragée. En bref, il venais de perdre ses repère. À présent, le doute et l'incertitude s'étaient infiltrer dans son cœur, et partit comme sa l'était, ils n'étaient pas prêt de repartir de sitôt. Maintenant il ne savais même plus qui il étais. Il ne se reconnaissais plus. Il avais l'impression d'être enfermer dans un corps étranger, ou l'apparence étais la même, mais ou l'esprit lui, appartenais à quelqu'un d'autre et qu'il n'étais plus que le spectateur de sa propre existence.

Il n'arrivais toujours pas à y croire. En faite il ne voulais pas y croire. Car y croire revenais à acceptais que lui, Drago Malfoy, avais étais adopté. Or, il ne l'acceptai pas. Il n'acceptais pas qu'au final il ne puisse pas appartenir à l'une des familles les plus nobles, les plus riches, les plus influentes, les plus craintes, les plus puissantes, les plus respecté et les plus purs du monde sorciers. Il n'acceptais pas de ne pas être le fils de Lucius et de Narcissa Malfoy. C'était tout bonnement impossible, irréelle ! Et pourtant, pourtant il l'avais vus. Ce maudit souvenir, précieusement garder dans une des pensines familial preuve qu'il ne partageais pas le même sang que les Malfoy.

Au départ, il chercher seulement son père afin que celui-ci l'aide dans uns de ses devoirs de métamorphose. Ne le trouvant nul part dans le grand Manoir, il s'était donc diriger vers le bureau personnel de son géniteur. Il toqua une fois... Deux fois... Trois fois... Aucunes réponses. Se disant que Lucius ne l'avais probablement pas entendus frapper, il entrouvrit la lourde porte de chaîne, passant sa tête blonde à l’intérieur de la pièce. N'y voyant personne, le jeune homme s'éclaircit la voix avant de parler.

_Père..? Tenta-t-il, afin de s'assurer qu'il n'y est vraiment personne.

S'apprêtant à faire demi-tour, son attention fût porter sur une des étagères surcharger de livres, contenant là, une infimes partit que possédais Lucius en livres de magie noir, décaler sur le côté, laissant voir en son emplacement habituelle un mur creuser. Curieux, Drago s'en approcha de plus prêt, pour ensuite y découvrir la pensine personnel de son père, où le contenu d'une fiole déjà ouverte tournoyer dans la bassine remplis d'eau. N'y tenant plus, le jeune homme, trop curieux pour son propre bien, tourna sa tête de droite à gauche. Et lorsqu'il fut sur que le champ était libre, il y plongea sa tête sans attendre.

Un changement de décore signe qu'il avais atterrit dans un des souvenirs de Lucius provoquant ainsi une étrange sensation de tourbillon se fit sentir dans tout son corps. Le jeune blond reconnus toute suite l’hôpital St Mangoust, appeler aussi : L'hôpital des sorciers. Il y reconnu ainsi ses parents : Lucius et Narcissa Malfoy, 18ans plus jeune, un masque d'angoisse coller au visage. Rare émotion ayant réussi à passer leur légendaire carapace faite de mépris et d'hostilité. Leur posture tendue laissais comprendre qu'ils attendaient visiblement quelque chose, ou quelqu'un. Le jeune homme, s'étant assis sur un des sièges d'attente, patientait calmement, attendant que quelque chose vaille la peine qu'il s'y intéresse.

Heureusement pour lui, il ne du pas attendre longtemps, car un médicomage, quelques années plus vieux tout au plus que ses parents 18ans plus jeunes, vint à leur rencontre, le visage crisper en une vaine et lamentable expression de compassion qui ressemblais à s'y méprendre à une grimace qu'a une vrais émotions de compassion. Les mains crispé sur une pile de parchemins, l'homme se planta devant Lucius, droit comme un i.

_Bonjour Mr.Mal... Commença-t-il, avant d'être interrompus brusquement par le Lucius plus jeune, la voix vibrante de rage.

_Au diable les préliminaire ! S'exclama-t-il, son regard gris acier glaçant le pauvre homme sur place. Donnez-nous les résultats !

_Euh.. C'est que... C'est à dire que... Bredouilla-t-il, intimider par le blond, qui posséder déjà à son âge, sa silhouette imposante, apportant crainte et respect.

_C'est à dire que quoi ?! Tonna-t-il, ne supportant plus cet attente dés plus insupportable.

_Les résultats sont négatifs, je suis désolé, mais vous êtes bel et bien stéril... Termina le médicommage d'une voix rapide, une nouvel fois coupé non par les cris du jeune Lucius, mais par les sanglots de la jeune Narcissa.

_...Partez... Souffla le blond, autant détruit que sa femme par cette terrible nouvelle.

_V-Vous êtes sur..? Persista l'homme doutant malgré lui d'une réponse aimable.

_DEGAGER !!!! Hurla Malfoy, faisant sursauter toutes personnes se trouvant à proximité, hors-mis sa femme, trop chambouler par cette annonce et déjà plus qu'habituer des sautes d'humeur de son mari.

Perplexe de cet annonce, Drago ne s'aperçut pas toute suite du changement de décore, perdu dans ses réflexions. Ce fût finalement la sonnette lui rappelant celle de son Manoir, qui le ramena à la réalité, et donc, aux souvenirs de son « père ».

Lorsque les grandes porte en acajous s'ouvrirent, ce fut pour laisser apparaître Doby, son anciens elfes de maisons. Le jeune homme put alors observer les énormes yeux globuleux de la créature s'écarquiller d'avantage, avant de prendre d'une infime délicatesse le nouveau-né déposé au pas de la porte de Manoir. Sa petite touffe blonde couleur de lune et ses grands yeux ambré remplis de sournoiserie ne trompa pas Drago, qui se reconnus directement. L'elfe referma la porte, l'enfant dans ses bras, sûrement pour le montrer à ses maîtres. Il ne lui fallu pas plus de temps pour comprendre la situation.

Il ne fut capable de bouger un muscle que lorsque la réalité la frappa en pleine figure, lui criant qu'il n'étais pas le fils des Malfoy. Ne pouvant en apprendre plus, et se refusant de suivre l'elfe pour connaître la réaction de ses « parents », Drago sortit sa tête de la pensine, encore troubler par ce qu'il venais d'apprendre. S'apprêtant à sortir de se bureau de malheur, le jeune homme fut couper par la vus de Lucius, tranquillement adosser contre le mur prêt de la porte, un air indéchiffrable lui collant à la peau.

C'est donc après un long silence suivit d'un regard noir de la part de son fils, que Lucius comprit que celui-ci venais d'apprendre la vérité sur sa naissance.

Lorsqu'il l'avais apprit, il avais tout d'abord étais hors de lui. S'enfermant dans sa chambre, et refusant tout contacte "humain" jusqu'à la rentrée. Comment ses "parents" avaient-ils pu lui cacher une chose pareil, l'élevé dans la richesse et la suprématie des Malfoy et des sang-purs, pour ensuite lui annoncer la bouche en cœur qu'il n'étais ni l'un ni l'autre. Car oui, Drago ne se faisait pas d'illusion, ne connaissant pas ses véritables parents, il y avais autant de chance qu'ils soient des sang-purs, des sang-mêlés, des cracmols ou encore des moldues. Ce qui reviendrais à faire de lui, tous ce qu'il avais au fond, toujours méprisé.

Le bruit caractéristique d'une porte coulissante se fit entendre, sortant ainsi le blond de sa rêverie. Tournant légèrement la tête, il aperçut ses meilleurs amis, Blaise Zabini, Pansy Parkinson et Théodore Nott, s’asseyant bruyamment à ses côtés, l'obligent ainsi à se rasseoir.

_Salut vieux ! Salua gaiement Blaise, heureux de revoir son frère de cœur après plusieurs semaines de séparation.

Un mini sourire made in Malfoy apparut sur le visage du blond. Enfin il retrouver ses amis. Enfin il aller pouvoir oublier toute ces histoires d'adoption. Du moins, c'est ce qu'il espérais...

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Bonjour/Bonsoir, je tien à préciser que c'est mon premier chapitre, je m’excuse donc pour les potentielle fautes d’orthographe. 

J'accepte aussi toutes sortes de critiques du moments qu'elles sont constructif et non-insultante. Voila, merci d'avoir pris le temps de lire mon chapitre ainsi que ces quelques lignes.

Minuit