De l'autre coté de la justice - Tome I

Chapitre 28 : ARC IV - Nouveau départ

5997 mots, Catégorie: K+

Dernière mise à jour 25/02/2017 12:21



Suite a cette soirée et cette semaine e décision et de révélations, le couple planifia alors correctement et parfaitement tout les détails de leur nouvelles vie. Dans un premier temps, X nota tout les endroits qui plaisait au deux amoureux et qu'ils iraient visiter par la suite pour décider du futur emplacement de leur demeure, construite ou non. C'est durant ces nombreuses visites a l'autre bout du pays, que le couple s’arrêta alors dans la ville d'Oga, une ville de taille moyenne avec ses 30 000 habitants, dans la préfecture d'Akita, au nord du pays, vers une pointe. Comme le couple l'avait voulus, et d'abord X, la ville était avec une partie littoral, et une autre bordée de plaine et vastes territoires et décors, avec a coté de celles ci, plus au sud, des reliefs montagneux. Ce trio de paysages convenait a merveille pour vivre une belle vie, avec un climat doux et chaud en été bien que sec par quelques temps, et froid mais pas no plus gelé en hiver. Les printemps étaient toujours beau depuis que le couple s'était installé ici, a l'écart de la ville, dans sa grande périphérie. Finalement, ils pouvaient observer les quatre saisons les divertir durant leur nouvelle vie. Finalement, la maison fut construite au pied des montagnes qui dominait un coté de la ville, la jeune femme voulant pour une raison de goût toute simple sûrement la mettre dos a une montagne, pour ne pas être exposé de partout et peut être également se garder des vents froid ou chaud du climats de leur nouvelle région. En parlant de leur nouvelle demeure, l'appartement a l'autre bout du pays lui, plus au sud, avait été gardé par le reste de la famille. La mère de Rentaro y vivait avec sa fille et ses deux collègues, Huyga et Arecia, travaillant toujours toute les trois ensemble.


Depuis le départ de la propriétaire tyrannique des lieux, elles avaient pus prendre un peux plus de liberté et travailler dans des conditions plus "fouillis" mais ordonnées. Ce qui n'en déplut pas a Enju qui pus alors inviter au fil des années ses amies a des fréquences biens plus élevées, si bien que presque a chaque soir, elle ramenait des amies chez elle, sa nouvelle maison. devant la maison , face au montagne se trouvait une route de terre qui traversait des champs et plantations de une ou deux fermes voisines. En effet, la maison était en périphérie de la ville et par conséquent, elle était dans les terres reculés. Le couple comptait quelques voisins amicaux et attentionnés, avec leur maisons séparés d'une centaine de mètres chacune et que l'on pouvait compter sur les doigts de la main. Ainsi, les petites routes de terre, la foret luxuriante sur le coté droit de la maison avec les champs face a elle et le littoral sur sa gauche donnait un cadre des plus plaisants, calme et splendides qui soit. Un endroit ou il y ferait bon vivre.


Quand a la maison, justement, celle ci avait comme dit plus haut totalement construite et sortie de terre par le couple qui avait les larges moyens de s'offrir un vaste terrain. Ainsi,

la demeure était aussi belle que voisines mais avec sûrement plus de charme et de grandeur. Les prix de ces terres étaient attractifs du fait de leur proximité, rattrapé par un cadre idyllique. Ainsi, le domaine a deux étages, comprenant le rez de chaussée, commençait d'abord par un double portail de bois d'allure chaleureuse qui laissait voire un rectangle de gravier sans prétention mais qui donnât un certain cachet a l'endroit. ne fois les quelques mètres passé, la porte moderne de la maison se faisait voire, et s'ouvrait sur un grand hall qui montrait en haut de celui ci des rambarde de verre qui laissaient voire le hall du dessus, accessible par un escalier en face du premier. Ainsi, outre les marches face a la porte, sur la droite se tenait un salon de grande taille, vaste et de belle allure, au meubles modernes et a la décoration personnelle du couple qui le rendait agréable a vivre en tout points. Une fois que l'on était passé a coté d'une grande télé face a un canapé de velours, entouré de deux fauteuils de même ton et matière ainsi qu'une table de bois vernis et d'autres meubles et décorations, on pouvait tomber dans la véranda qui était du coté littoral, la encore bien décoré mais surtout remplis de livres en tout genre dans de simple, mais belles armoires au fines planches de bois bruns, fermés par des portes de verre.


Si, par contre l'on choisissais de partir sur la salle de gauche, on pouvait alors tomber sur une grande cuisine bien équipée et fournit en ustensiles et installation, disposant d'un grand plan de travail centrale, parfait pour y manger également hors du salon. les deux cotés de la maison étaient reliés par un beau et large couloir derrière les escaliers qui longeait ainsi le dos de la demeure, mais ou aucune fenêtre n'y était mise. Pour cause, deux salles étaient dans le dos de la maison. La première était le bureau de X, refait a l'identique ou presque sur celui de son appartement. Une grande baie vitrée donnant une superbe vu sur les montagnes avec son bureau au centre et ses rangement sur le coté avec un fauteuil et un petit bar, et sur l'autre une salle d'arme et de musculation. Certe plus petite qu'avant, mais tout aussi bien équipée. L'endroit jouissait de grandes armoires et rangement en fer ou était stockés les armes et le matériel, avec au centre de tout cela placé sous clé dans une vitre en verre incassable la tenue de la tueuse, toujours aussi belle avec ses couleurs sombres et ses croix catholiques rouges, ainsi que le reste de l’attirail placé de chaque coté tel que les bottes, les gants et les couteaux. de l'autre coté étaient mises les machines de sport avec leur poids, altères et autre installations pour l’exercice. La salle était aussi profonde que le bureau a coté d'elle mais était plus large pour permettre de meilleurs sessions.


Quand a l'étage, on y accédait alors par les escaliers qui tournait de moitié pour nous faire arriver sur le hall ouvert de l'étage, qui donnait alors un aspect uniforme a la maison et renforçait cet aspect convivial et de cocon.

En face du hall, coté montagnes donc, se trouvait deux portes. L'une était celle de la chambre des nouveaux parents, comme était la chambre de X ou presque, avec la différence qu'il y avait deux armoire pour les vêtements de Rentaro. Durant la construction un dressing avait été proposé mais Akihira avait jugé cela trop grand et "bling bling" pour le cocon qu'elle voulait créer pour sa famille. sur l'autre porte s'ouvrait alors une grande salle de bain. Lavabo, baignoire a jets pour les jacuzzi, douche assez grande pour y accueillir deux personnes, rien ne manquait, selon les souhaits et désir de la famille. sur la porte de gauche ensuite, se trouvait les sanitaires, dans une salle moyenne. Ni trop grande pour ce genre de chose ni trop petite, de même taille que celle du rez de chaussé prés de l'entrée, a coté d'un rangement pour les produits ménagers et autres. Enfin, sur la droite, a coté des escaliers se trouvait la chambre de Yoshino, décorée dans des tons roses dominés par le bleu que la petite semblait adorer.


Bien sur, du fait de la distance petite mais présente qui les séparait de la ville et de leurs besoins, tel que l'école ou les grandes surface, un garage sur le coté droite e la maison était construit, communiquant également par une porte directement avec la maison ou était rangées et garées, une des grosses cylindrées du garage de l'appartement de X. C'était son américaine, avec son aileron plat et sa peinture noire au reflets rouges qui donnait un air normal malgré une apparence "tunnée" avec ses jantes en alluminium brillant comme les voitures de courses ou de riches personnes. Et a coté de cela était mise sa Lamborghini, une "supercar" qu'elle avait gardé par petit coup de cœur pour elle du fait que c'était la première voiture de cette catégorie qu'elle avait pus s'acheter. Bien sur elle ne la sortait que très rarement pour ne pas se faire remarquer ou simplement parce que elle ne pouvait en tirer profit pleinement avec sa grande puissance sur de si petites routes.

En parlant de la tueuse, depuis que environs 5 ans se soit écoulés, la femme avait du régler quelques affaires pour pouvoir commencer sa nouvelle vie. Le pentacle, redoutable groupe des meilleurs assassins et tueur du monde entier avait reçus sa démission de ce "cercle" fermé. Ainsi, la jeune femme se retira de la vie active de tueuse et perdit en quelques sorte son vrai rang, mais entra dans la postérité et la mémoire e tous et toute, si bien qu'elle fut sans doute et encore prise en exemple comme une légende vivant des mercenaires et tueurs a gage de ce monde. Une fois la chose faite, ses revenus travaillèrent pour elle avec sa colossale somme d’argent que lui avait gagné Chachamaru avant leur départ en tuant pour elle, qu'elle avait d'ailleurs emmené dans leur nouvelle maison.


Le couple s'était bien sur enrichis sur le stade de leur relation et n'avait pas vraiment évolué malgré cela, a part sur leur amour qui n'avait de limite l'argent de X si l'on devait prendre un exemple assez grand pour cela. Cet amour qui se trouva décupler a la naissance de leur fille, enfant si longtemps voulus par les deux des mois après leur installation. Yoshino. Une jolie et mignonne petite fille dont le caractère tenait surement des ancêtres des parents tant il était inconnus dans le corps de ceux ci. La petite, pour une raison inconnus du père mais peut être pas de la mère, avait de longs et soyeux cheveux bleus, la par contre, hérité sans doute de a mère pour leur apparence douce, brillante et naturellement belle et facile a coiffer, chose que la mère plaisait a faire. Ses yeux de la même couleur mais d'un ton plus clair par moments étaient également de belles choses a regarder sans cesses pour les parents de la petites filles qu'ils chérissaient plus que tout au monde.

Le cadre posé, la maison décrite, ainsi que la situation familiale instaurée, aussi bien du côté de la nouvelle petite famille et celle restée à l'appartement de luxe, attardons-nous justement sur la famille de l'homme. Commençons tout d'abord par celles qui étaient restées en ville.


Tout d'abord Miki, la mère et scientifique de la famille. Après ces cinq années, rien n'avait vraiment changé chez elle, au niveau du physique, si ce n'est que quelques traits de vieillesse se faisaient voir sur son visage, bien qu'il fallait vraiment insister pour s'en apercevoir derrière sa mine et ses courbes toujours féminines derrière sa grande blouse blanches. Au point de vue économiquement, la chose était au contraire autre. En effet, après le départ de son fils et de la tueuse pour leur nouvelle vie, bien qu'elle y avait gagné au change un appartement des plus coquet, elle y avait perdu un employeur, en quelques sortes, sauf lorsque cette dernière lui demandait, à elle et ses deux camarades une bricole ou encore l'entretient de Chachamaru mais aussi le contrôle de la santé de X et ses radiations, encore cachées à son compagnon qui ne se doutait absolument de rien. Par conséquent, maintenant beaucoup plus libre, tout comme ses camarades, elle s'occupait pleinement de ses recherches personnelles, et même, mettait en vente quelques une de ses innovations qui n'étaient pas sans leur ramener un revenu plutôt confortable, de quoi entretenir l'habitat en même temps que pour s'occuper de sa fille, Enju.


D'ailleurs, en parlant de cette dernière, elle aussi avait bien grandi, au cours de ces cinq années. Elle était maintenant âgée de 16 ans. Comme facilement prévisible, sa taille avait augmenté, tout comme ses formes et notamment sa poitrine, pendant un moment victime de nombreuses moqueries de la tueuse. Toutefois, même si elle avait gagné, elle était bien loin de son exemple, de son idole et maintenant, belle-soeur, sur le plan idéologique seulement toutefois. Depuis, ses cheveux étaient toujours aussi oranges, mais plus longs, tout en conservant ses deux grands couettes qui descendaient jusque ses hanches. Là où il y avait eu du nouveau dans sa coupe, c'était au niveau de ses barrettes, qu'elle avait remplacé par deux rubans rouges, ainsi que deux petites clochettes, un style toutefois assez étrange, sauf si l'on connaissait les hobbys de la jeune fille, bientôt femme.

Cette tendance venait tout simplement de l'un de ses personnages préférés qui sortaient tous droits de l'un des animés japonais, mangas qu'elle lisait encore régulièrement. Cela ne l'empêchait toutefois pas de se faire de nombreux amis par la suite, notamment dans son lycée où elle était assez populaire, à la fois pour sa beauté naissante mais aussi ses deux petites clochettes ainsi que ses activités justement. Vivant paisiblement et tranquillement avec les trois scientifiques, accompagnée justement de ces dernières, ou alors tout simplement de sa mère, il lui arrivait d'aller rendre visite pendant ses vacances à son grand frère, la tueuse, mais aussi sa nièce dont elle prenait grand soin à chaque fois qu'elle la rencontrait, tout comme la mère du frère d'ailleurs, qui elle était tout simplement obnubilée, dans tous ses états à chaque fois qu'elle la voyait et qui donc ne pouvait s'empêcher de la dorloter et la choyer.


Passons maintenant au membre le plus "important" de la famille scientifique, qui n'est autre que l'homme de la femme, ainsi que le père de l'adorable petite fille, Rentarô. Tout comme Akihira, il vivait dans la plus grande paix et tranquillité dans son nouveau cadre, bien loin de tout ce à quoi il avait été habitué jusque-là. De ce fait, bien entendu, dans les premiers mois, il eut quelques peu de mal à s'y habituer, à ce paysage noyé dans la verdure, cerné de roche et assaisonné de brise agréable. Mais comme dit, ce ne fut qu'une question de temps avant qu'il ne finisse par s'y habituer, si bien que l'on se demandait s'il n'avait pas vécu dans ce cadre idyllique toute sa vie. Cette habitude de vie tranquille et à l'écart de tout, des ennuis, fut surtout rendu possible grâce à la présence de la femme de sa vie à ses côtés, la femme dont il était tout simplement éperdument amoureux et dont il s'occupait autant que sa fille. Il veillait à ce qu'elles ne manquaient, et ne manquent encore de rien. Elles étaient toutes les deux ses plus grands trésors, ses joyaux. Ils les aimaient toutes les deux. L'une d'un amour sans limite de compagnon, de mari même si au final, avec la volonté de la femme, tous deux n'étaient pas encore mariés, l'autre de son amour inconditionné de père tendre, amour que l'enfant lui rendait même si toutefois, une certaine préférence pour la mère était visible du fait qu'elle la collait encore plus qu'elle ne collait son père. Toujours dans ses jambes, toujours à se frotter à elle et surtout, toujours à tirer sa robe de nuit après un sommeil agité animé par de méchants monstres nocturnes. En somme, il aimait ses deux femmes, et les deux femmes le lui rendaient sans retenue, surtout la plus grande.


Comme avant, n'ayant pas changé ses habitudes, il était un peu l'homme à tout faire. Cuisine, ménages, tout y passait, même si maintenant, il était bien aidé par l'androïde Chachamaru qui s'en occupait également en partie, sauf peut être la cuisine qui était le terrain de prédilection de l'homme qui prenait un grand plaisir à ravir les papilles de sa petite famille. On pouvait également noter que, même si la troisième femme du logis était une androïde, donc non humaine, elle n'en était pas moins considérée comme telle. Elle était tout simplement le quatrième membre de la famille qui avait sa propre chambre. Elle mangeait avec eux, elle passait du temps avec eux, elle dormait sous le même toit qu'eux. Avec cette vie, jamais on aurait pu se douter qu'elle fut d'abord construite pour tuer, ou que tout simplement elle était une construction.

Malgré tout, même avec ce nouveau calme et cette tranquillité sereine et plaisante, il n'en avait pas pour autant arrêté ses entraînements ainsi que l'entretient de son corps afin de toujours rester en forme ainsi que conserver sa carrure d'athlète pour être prêt n'importe quand à défendre sa famille, quiconque oserait lever la main sur l'un de ses trésors, mais aussi tout simplement, et peut être en grande partie, rester tout simplement attrayant pour sa petite amie même si le temps passait, bien que l'on ne le voyait pas forcément sur lui.


Et après une bonne séance d'entraînement bien évidemment, il en profitait bien pour rejoindre la salle de bain et plus précisément le relaxant jacuzzi ou encore la baignoire à jets pour se détendre et relâcher ses muscles sans cesse solliciter pour une quelconque raison. Sérénité et repos parfois dérangé par la venue d'Akihira discrètement pour avoir un petit moment privilégié avec son homme, si sa fille le lui permettait cela-dit.

Si l'on voulait résumait tous ces petits paragraphes, tous vivaient désormais une vie paisiblement dûment méritée, après la vie de misère, de tristesse et d'embûches qu'ils furent contraintes de vivre à cause d'aléas de la vie loin d'être généreux. Rentarô avait enfin la vie dont il avait toujours secrètement rêvée, aux côtés d'une magnifique femme qu'il aimait profondément, ainsi qu'une fille qu'il chérissait comme sa plus grande perle rare.


C'est a nouveau a une de ses journée de week end classique, que la petite famille était a nouveau "confrontée". Rentaro était partit faire des courses tôt pour le midi avec la voiture de la femme qui désormais lui appartenait grandement a lui aussi, tandis que celle ci était debout, contre le plan de travail de la cuisine, mangeant son bol de céréale d'un air endormie.


-( Chachamaru est pas debout....elle doit encore recharger....et Yoshino...je crois avoir entendus du bruit dans sa chambre..)


Et elle ne croyait pas si bien dire. Quelque secondes après, elle put entendre sa voix à l'entrée de la cuisine, sans pour autant pouvoir la voir. Elle semblait un peu perdue, elle ne voyait d'abord personne comme elle venait d'arriver dans la pièce.


-Are..? Ils sont où ? Papa n'est pas là ?


Après un autre instant, elle put entendre une grande gaieté dans sa voix, ainsi que des petits bruits de pas rapides qui se dirigeaient vers elle. On dirait bien qu'elle venait de l'apercevoir. La petite courait vers sa mère d'un grand sourire, ses yeux bleus grands ouverts ainsi que ses deux mignonnes petites couettes tout aussi bleues qui volaient dans le vent.


-Maman...!


La mère tourna alors son visage vers la source de la voie et vit sa petite fille courir vers elle.


-Ah, Yoshino, ohaio ma chérie.


De ses petites jambes, elle arriva justement à celles de sa mère contres lesquelles elle se blottit sans plus attendre en s'y frottant le visage à la manière d'un chaton tout mignon, souriante les yeux fermés. On pouvait presque entendre un ronronnement de sa part. La mère se baissa alors et la souleva en passant son bras pour l'attraper et la mettre assise sur le plan de travail dans sa robe de chambre blanche, ses deux petites jambes dans dans le vide. Akihira l'embrassa alors sur le front en la regardant d'un sourire


-Bien dormis mon ange ?


La petite répondit toujours de son grand sourire d'enfant en balançant ses jambes dans le vide. Comme à son habitude, elle ensoleillait sa mère de sa grande gaieté et joie innocente dont elle avait toujours rêvé, l'innocence d'un enfant qui était le sien.


-Oui oui ! Il n'y avait pas de monstres cachés hihi !


-Ahah, maman les avait bien chassés alors.


La mère se tourna vers le frigo et sortit une brique de lait a moitié pleine, puis un bol du placard a coté du frigo et posa le bol a coté de la petite, qu'elle remplis ensuite de lait. Elle prit le paquet de céréales a coté, déjà sur le plan et en mit dans le lait. Elle prit le bol et le donna a la petite d'un sourire heureuse comme elle en avait depuis sa naissance.


-Allez, mange vite sinon tu va encore tout laisser et me dire que c'est tout mou.


Elle prit alors un petit air boudeur en gonflant légèrement les joues, ce qui la rendait encore plus mignonne et à croquer avec ses petites joues rouges.


-C'est pas de ma faute, ils boivent le lait à ma place...


La mère lâcha un rire amusée et heureuse d'entendre des paroles si innocente.


-Dans ce cas boit tout avant eux héhé !


Elle tourna vivement sa tête vers elle avec de grands yeux maintenant comiquement, mais avant tout mignonnement inquiets.


-Mais après ils vont plus avoir à boire Maman...!


-Tu sais ma chérie, ils vivent sans dans leur paquet, alors ils peuvent se débrouiller sans.


Suite à cette petite explication, elle baissa la tête vers son bol. Elle regardait ses céréales qui flottaient dans le liquide blanc d'un air réfléchi et soucieuse. Elle méditait sur la chose, comme une enfant le ferait.


-Je vois..alors ils peuvent vivre sans...


En un instant, elle saisit sa cuillère et commença à prendre à répétions des gorgée de son lait d'une façon déterminée.


-Gne vais leur mongner..!


-Oui, fais donc ça héhé.


La mère finit son déjeuner a elle tandis qu'elle regardait sa fille faire. Elle était toujours aussi heureuse et comblée de regarder ce spectacle sous ses yeux, dont elle ne se lassait jamais. La petite mangeait alors toujours de cette manière innocente ses céréales, ou plutôt buvait son lait afin de s'imposer face à son petit déjeuner. Pendant ses coups de cuillères, elle leva son visage et vit sa mère qui la regardait avec son sourire tendre de mère en la fixant. Elle prit un air d'abord curieux, puis automatiquement son sourire qui la ravissait à chaque fois et réchauffait son coeur autrefois le plus dur et impénétrable qui soit.


-Tu veux aller a la télé chérie ?


Dès qu'elle entendit la chose, elle s'appuya avec ses mains sur le comptoir d'un sourire encore plus grands et ses grands et beaux yeux bleus pétillants.


-Je peux vraiment...?!


-Oui.


La mère la reprit alors et se dirigea vers le salon. Elle se laissa porter volontiers en agitant de nouveau ses petites jambes lentement dans les airs tout en regardant l'objet, ou plutôt l'écran de ses convoitises avec envie, le bout de l'index dans la bouche. La mère posa la petite sur le canapé et prit la télécommande posée sur la table basse. Elle l'alluma alors et la mit sur la chaîne des dessins animés qui passaient a cette heure avant de poser la télécommande a nouveau, avant de s’asseoir a coté de la petite.


-Bien.


Aussitôt elle fut captivée par son programme préféré et alla se coller une fois de plus et sans surprise à sa mère de son grand sourire enfantin qui était le petit rayon de soleil de la femme.


-Quand est-ce que Papa va rentrer, Mama ?


La femme la prit contre elle en lui caressant ses petites jambes.


-Mmh, quand il aura finit les courses. Avant le repas.


Elle regarda sa fille d'un sourire malicieux.


-Pourquoi ? tu te lasses déjà de moi ?


Elle alla se blottir davantage contre elle en se jetant littéralement dans ses bras sur le canapé en riant joyeusement.


-Non ! C'est juste que j'adore être entre vous deux hihihi !


-Héhé, je sais mon ange.


Puis a la fin du programme, Akihira regarda sa fille en se redressant sur le canapé


-Bien ! maintenant il est temps de t'habiller princesse. Papa ne va pas tarder.


Il n'en fallut pas plus à la petite fille pour que celle-ci prenne appui sur le canapé pour en partir d'un petit saut.


-Oui oui !


Une fois à terre, elle partit aussitôt vers sa chambre pour aller s'habiller comme il lui était demandé en courant.


-La mère pris la télécommande pour éteindre la télé en regardant la fille partir.


-Doucement Yoshino ! tu va tomber dans les escaliers !


Puis elle monta elle aussi a l'étage rejoindre sa fille qui était dans la chambre.


-Papa et maman t’ont déjà dit de ne pas courir partout...


Elle s'accroupit vers la petite qui était devant son meuble ou était rangés ses vêtements en lui frottant la tète d'un sourire


-Vraiment...


Même si comme toujours avec elle, elle était dans la tendresse, elle se sentit coupable et baissa la tête de son petit air coupable rempli de mignonnerie, les mains liées dans le dos en faisait traîner son pied au sol.


-Désolée maman...


-Allez, on va te prendre une belle robe.


Elle se releva alors et ouvrit la porte gauche du placard


-Tu veux laquelle aujourd'hui ? la bleue ou la noire ?


Elle se tourna vers le placard en regardant de bas en haut le meuble qui à cause de sa petite taille la submergeaient, tout simplement. Elle réfléchissant avec son index sur les lèvres.


-Heu...


Après quelques petites secondes de réflexion, elle pointa l'une des deux robes du doigt avec le sourire.


-La noire !


La mère la sortit alors et la posa sur le lit avant de s'en retourner vers sa fille et de commencer a l'habiller. Après quelques instants, elle finit par rabattre la robe complètement sur la petite et elle l'assis sur le lit avant de lui enfiler ses chaussettes noires.

La petite Yoshino se laissait faire avec grande joie. Elle adorait se faire dorloter de la sorte et que sa mère s'occupe d'elle. Le petit silence qui régnait pendant l'habillage se fit interrompre par un grand bruit depuis l'étage inférieur. C'était celui de la porte d'entrée qui venait de s'ouvrir puis de se refermer pour laisser ensuite place à des bruits de sac. Immédiatement elle se mit en alerte, devinant aisément de quoi il en retournait, d'où son sourire.


-Ah ! Papa est rentré..!


-Ah ?


La mère se releva alors prit la petite contre elle.


-Cette fois ci je te porte, sinon tu va tomber dans les escaliers héhé.


Les deux femmes sortirent alors de la pièce et descendirent les marches pour arriver au hall en face du jeune homme ou la mère déposa la petite en se baissant. Et la prédiction de la petite était bien vraie. Il s'agissait bien de son père, Rentarô, qui venait de rentrer de ses courses. Il était en train d'ôter ses chaussures dans le hall avec ses pieds étant donné qu'il avait les deux bras chargés par deux gros sacs de courses et provisions remplis à ras-bord. Par ailleurs, il lâcha un petit bâillement de fatigue. Il était levé depuis plus longtemps que les femmes du logis.


-Je dois encore ranger tout ça...


Cela-dit, il allait devoir attendre encore un peu pour se reposer. Il faut aussitôt interpellé par la voix de sa fille qui se précipitait maintenant vers lui les bras grands ouverts.


-Papa !


Il se concentra sur ce qu'il faisait et tourna son visage vers elle pour la voir accourir en sa direction. Il prit en réflexe un petit sourire de père ravi et savait ce qu'il devait faire. Portant à bout de bras ses courses de sa force supérieure qui intriguait d'ailleurs sa fille, mais surtout l'amusait, il se baissa en fléchissant ses jambes pour la laisser sauter à son coup en fermant un œil.


-Ma chérie, tu pourrais au moins attendre que Papa dépose les courses ahah..


-Ou bien que maman ai dit bonjour d'abord


La mère reprit alors la fille dans ses bras pour passer à côté d'elle et embrasser Rentaro d'un petit baiser matinal


-Tu aurais pus me réveiller cette fois ci chéri. Je n'étais pas fatiguée


-Oui mais..


Il lui rendit son petit baiser matinal avec le sourire en se penchant en avant.


-Je ne voulais pas courir le risque. Et je ne voulais pas effacer l'expression que tu fais quand tu dors.


- Elle prit un sourire à cela.


-Encore avec ça...


La mère reposa la petite en prenant un sac de course et en allant vers la cuisine avec Rentaro.


-Alors ? C'est quoi ce midi ?


-Ah, ça..


Continuant de s'en aller vers la cuisine, il baissa le visage vers son propre sac qui regorgeait de produits et qui donc permettait de nombreuses possibilités.


-Je dois encore y réfléchir, il y a tellement à faire.


Leur fille les suivit en restant à l'arrière avant qu'elle ne se mette à tournoyer autour d'eux les bras écartés à la manière d'un avion bien joyeux.


-Je veux de la pizza !


-On en a déjà mangé hier soir mon cœur. Pas deux fois la même chose, tu va finir toute ronde sinon.


-Moh...


Arrivant finalement à la cuisine, Rentarô posa son sac sur le plan de travail, de peu rejoint par sa femme. Il la regarda de côté d'un petit sourire, maintenant plus de père, mais de mari, ou ce qui s'en approchait.


-C'est surtout que Maman aimerait bien que je lui prépare quelque chose.


-Moi,, pas vraiment...c'est juste que si tu veux que ta fille devienne grosse...


Maintenant qu'il avait les mains libres, il en profita pour la prendre au bassin et la rapprocher de lui d'un sourire maintenant amoureux.


-Allez, il doit bien y avoir quelque chose qui te fait envie...


-Mhh....voyons... Tes lsaganes au légumes étaient bonnes. Pourquoi pas sa ?


-Bien, on va faire ça alors.


Tout en tenant la mère, il regarda la fille qui restait dans son coin, à l'entrée de la cuisine. Elle les regardait d'un air assez curieuse. Elle se demandait pourquoi son père regardait sa mère de la sorte, mais aussi pourquoi il la prenait comme telle.


-Cela vous convient-il princesse ?


Elle revint à elle à la question de son père et reprit automatiquement son grand sourire de petite fille, visiblement satisfaite de la proposition.


-Oui ! De toutes façons ce que Papa fait est toujours bon !


-Bien !


-Bien, on dirait que la chose est décidée.


Il se détacha d'Akihira et retourna aux deux sacs dont il commença à tirer le contenu pour poser les produits un à un sur le plan de travail d'un petit sourire à l'allure maintenant naturel. Au cours de ces dernières années passées aux côtés de la femme qu'il aimait ainsi que de la fille qu'il chérissait, il avait apprit à sourire.


-Mais avant, il faut ranger tout ça !


Quand il dit cela il tendis alors comiquement deux bruits d epas en crissement de peux partir a l'étage , les deux filles laissant l'homme rapidement faire cette tâche


-Curieux d'entendre ces bruits bien que pour lui depuis le temps il ne lui étaient pas vraiment inconnus, il se tourna vers l'arrière. Il s'aperçut que toutes deux venaient de disparaître aussi vite que l'éclair, effrayées par cette tâche, tâche qui n'était pas isolée. En effet, l'homme se chargeait de tout, absolument tout. Ne voyant personne, il posa une main sur sa hanche, l'autre bras ballant. Il poussa un léger soupir de désespoir avant de parler tout seul.


-Merci pour le coup de main..


Une fois arrivée en haut, Akihira était alors dans la chambre de sa fille avec cette dernière. Elle était ssise sur son lit, dos à celui ci , les jambes un peux écartées.


-Yoshino, viens voire maman.


À son tour curieuse à cause de la demande de sa mère, elle se rapprocha quand même d'elle comme il lui était demandé. Celle ci tendis la main d'un sourire calme et comblée


-Viens faire un câlin à maman.


En voyant la main qu'elle lui tendait et surtout à sa nouvelle demande, elle lui rendit son sourire.


-Ah...!


Sans plus tarder, elle pressa le pas et accourut vers sa mère pour aller lui prendre sa main, sûrement dans l'attente de se faire porter jusqu'à elle. La mère la souleva alors a bout de bras sans aucun mal à cause de sa constitution corporelle bien modifiée, et mis la petite entre des jambes, la collant a elle, sa tête reposé sur son ventre. Elle se remis ensuite a caresser les cheveux de la petite en baissant son visage, déposant des bisous sur sa tète.


-Je t'aime fort ma chérie...


La mère frotta son visage contre elle en fermant les yeux. Fe genre de moment passes avec sa fille était quelque chose de divin pour elle. Elle en profitais au maximum des qu'elle le pouvait et ce depuis sa naissance, au maximum


-Fort fort fort fort.


Une fois de plus, elle se laissait faire par sa mère, elle se laissait dorloter comme une poupée, comme un jouet duquel la femme ne voulait se séparer. La chose lui faisait extrêmement plaisir, sûrement autant qu'elle ne faisait plaisir à la mère. Après tout, quelle petite fille réagirait autrement à une telle embrassade de la part d'une mère aussi tendre ?


-Moi aussi je t'aime Maman hihi...


Après une bonne heure de câlins en plus, on toqua a la porte et celle ci s'ouvrit alors, laissant voire le visage de Chachamaru


-Madame, le repas est prêt.


-Ah, merci Chacha.


La petite avait bien entendu la chose et surtout, la sentait, cette bonne odeur de légumes mélangés à la pâtes des lasagnes préparées par son père gagnait un tant soit peu la pièce depuis que l'androïde avait ouvert la porte. Blottie contre sa mère, elle s'en décrocha un peu et leva le visage pour la regarder, toujours avec le sourire.


-On y va Mama ?


-Oui, allons y.

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