Watch Girl

Chapitre 2 : Chapitre 01 : Les Choses Inexplicables

3762 mots, Catégorie: K+

Dernière mise à jour 08/11/2016 22:58

Ce récit se déroule entre le film 'Iron Man 3' et 'Thor 2 : Le Monde Des Ténèbres'

Mars 2013, Brooklyn, New-York.

Je pouvais sentir les gouttes de pluie tomber sur mon visage. Je fixais le ciel, un avion venait de passer. Il était caché derrière les nuages mais j'avais malgré tout pu le voir. Il faisait plutôt froid, mais je n'y prêtais pas vraiment attention. Vêtue d'un simple anorak couleur taupe, d'un jean slim bleu et de bottines en cuir brun, j'avançais dans une allée sombre. De sales types se trouvaient au bout de cette rue, réputée pour être fréquentée par des voyous. Je ne savais pas vraiment ce qu'ils faisaient mais leurs regards se posèrent sur moi. Ils me reluquaient. J'avais l'habitude ... Peut-être aurais-je du retirer ma capuche ? Cela les auraient peut-être freinés, peut-être seulement. Qui sait ? L'un d'eux s'avança vers moi, mais il ne suffit que d'un regard massacreur de ma part pour qu'il recule.

Un éclair illumina le ciel, le grondement du tonnerre ne mit pas beaucoup de temps à se faire entendre. Je gravis les quelques marches en béton qui menaient à une porte métallique. Je sortis un papier de ma poche et relisais les quelques mots inscrits dessus : j'étais bien à la bonne adresse. Sans hésiter, je toquai deux-trois fois à la porte. Personne ne vint m'ouvrir. Je me concentrais quelques secondes et la porte se déverrouilla. Une vulgaire musique de rap pouvait se faire entendre. Je pénétrai à l'intérieur. La plupart des gars, qui étaient principalement alcoolisés, tenaient entre leur deux lèvres un cigare. Leurs regards se tournèrent vers moi. Le bar était miteux. C'était sale et une odeur d'alcool mélangée à celle de la cigarette emplissais mes narines, c'était écœurant. Il n'y avait que deux autres filles, vêtues seulement de petites tenues, elles servaient les clients. D'ailleurs, l'un d'entre eux claqua la fesse d'une de ces demoiselles, ce qui n'eut pas l'air de la déranger plus que ça. Répugnant.

Je partis m'asseoir au bar, auquel personne ne se trouvait excepté un homme, la cinquantaine, qui nettoyait des verres. Il se dirigea vers moi.

-Je peux vous aider ? Me demanda-t-il doucement.

-Je cherche un type, répondis-je.

Sans attendre, je sortis une petite photo abîmée de ma poche. Le barman arqua un sourcil tout en regardant la photo.

-Je peux savoir pourquoi ? Continua le type.

-Une vieille histoire, répondis-je avec nonchalance. Il est là ou pas ?

-Si vous êtes une de ces nanas qui lui a donné du fric, il ne viendra pas vous voir.

-Et si non ?

Il recula d'un pas.

-Je vais voir, déclara l'homme, hésitant, en se dirigeant vers une petite porte.

J'attendis quelques secondes jusqu'à ce qu'un des clients vienne me tenir compagnie. Une compagnie dont je me serais bien passée. Il s'assit à côté de moi, une bière à la main. Il commença à parler, sans que je l'écoute vraiment, jusqu'à ce qu'il me dise.

-Sinon, ça te dirait qu'on passe du temps ensemble ? Genre... chez moi ?

Mon visage se tourna vers lui tel un robot. Il avait un sourire ridicule au coin des lèvres. Je retirai ma capuche. Je vis son visage changer du tout au tout.

-Je te plaît toujours ? Demandai-je en regardant par dessus le comptoir.

-Heu... ben tu sais..., balbutia-t-il. Il te reste tes formes.

Il approcha doucement une de ses mains de moi. Je l'attrapai, la tordis en écoutant ses os craquer un à un tandis que de mon autre main je plaquai sa tête contre le comptoir d'un coup sec. L'homme tomba immédiatement de son tabouret, laissant les autres clients bouche-bée. Je ne m'en préoccupais pas.

Cinq minutes plus tard, le barman réapparut.

-Désolé, il ne veut pas, me dit-il d'un ton sec.

-D'accord, mais il y a un problème, chuchotai-je.

-Lequel ?

-Eh bien ... J'ai besoin de le voir.

-Non, c'est non. Allez, retourne au lycée gamine.

Un léger rire s'échappa de ma bouche. Je me levai calmement de mon tabouret, contournant le comptoir.

-Eh !Tu fous quoi là ?! Cria le barman.

Je passais devant lui sans même y prêter attention. Il fit l'énorme erreur de tenter de me retenir par le poignet. En à peine quelques secondes, il se retrouva sur le sol, le nez en sang. Je n'avais eu qu'à donné un coup. La clientèle ne semblait pas vraiment s'en occuper. J'entrai dans la pièce où se trouvait probablement la personne que je devais voir.

Effectivement, il était là, assis sur un canapé, une clope à la main et une fille venait de retiré son haut juste devant lui. Une musique dès plus ennuyante se faisait entendre dans la pièce remplie de fumée. Il n'avait pas vraiment l'air de faire attention à moi, ce qui était plutôt étonnant. Il me suffit de donner un coup dans l'enceinte pour que la musique se stoppe net et que l'homme se retourne enfin vers moi.

-Eh ! Hurla-t-il alors que la fille se retournait pour me voir.

J'avançais lentement vers l'homme gras aux lunettes dorées. Il était répugnant, comment une fille pouvait-elle se donner en spectacle devant ce genre d'énergumènes ?

-Dégage de là, tu vas pas aimer ce qui va suivre, lançais-je à la strip-teaseuse.

Elle attrapa ses vêtements et sortit en lâchant un soupir qui en disait long sur ce qu'elle pensait.

-Je peux savoir pourquoi vous faites ça ?! Continua d'hurler l'homme en se levant et en s'avançant vers moi d'un pas rapide.

Alors qu'il se rapprochait dangereusement, je craquai mes doigts et attrapai sa gorge. Un léger cri, semblable à celui d'un porc, sortit de sa bouche. Je le soulevai de quelques centimètres au-dessus du sol, pressant de plus en plus fort avec ma main.

-Vous voulez quoi ? Essaya-t-il d'articuler.

J'éclaircis ma voix avant de commencer mon discours :

-Il y a environ quinze ans, vous travailliez pour une organisation criminelle. Vous devriez vous en rappeler puisque vous avez travaillé pour eux pendant environ huit ans, jusqu'à leur démantèlement. Vous vous en rappelez ?

- Oui...

Il avait de plus en plus de mal à parler. Je relâchai un peu l'emprise.

-Parfait, répondis-je en donnant de petites tapes amicale sur son épaule. Je sais très bien que cette organisation existe toujours, alors j'aimerais que vous me disiez où se trouve leur chef.

-Il est mort ...

-Ben voyons, déclarai-je ironiquement. Vous croyez que je vais avaler ça ?

- Sa femme ... Sa femme ... a repris le flambeau...

-Et où est-ce qu'elle est ?

-Je ... Je sais pas ...

Je le relâchais. Il m'était inutile. Le pauvre tomba à genoux sur le sol, toussant. Une toux grasse. Je me retournais, essayant de trouver quelque chose dans cette pièce qui pourrait m'aider.

-Ici le patron, attrapai la fille qui sortira de cette pièce, je répète, attrapez-là, cria l'homme juste derrière moi.

Mes yeux s'écarquillèrent. Je me retournai furtivement et lui assénai un énorme coup de pied dans la mâchoire. Il tomba sur le sol, les yeux grand ouvert.

-Merde, soufflai-je.

J'accourus vers la porte. Je l'ouvris, et lorsque je sortis de la pièce, je découvris avec surprise que la plupart des clients se trouvaient devant la porte de sortie. Merde. Il ne me fallut que quelques secondes pour apercevoir un escalier sur ma droite. Je passai par dessus le comptoir, plusieurs hommes tentèrent de m'assommer ou de m'attraper, mais je réussis à esquiver la plupart. Le seul qui réussit à m'attraper se prit un énorme coup de pied dans ses parties génitales. Je grimpai à toute vitesse les marches, suivis d'une dizaine d'hommes armés de bouteilles en verre et de morceaux de bois. Je fonçais dans la pièce la plus proche. Je m'adossai à la porte pour la bloquer. Ils avaient beau foncer dedans, il n'arrivaient pas à me faire bouger d'un centimètre. En face de moi se trouvait une fenêtre, elle menait à un toit. Je n'avais pas vraiment le choix. Je pris une longue inspiration avant de foncer vers celle-ci. Je canalisai mon énergie, ne pensant à rien d'autre que ma survie et le verre se brisa avant même que je n'atteigne la fenêtre. Lorsque je traversai cette dernière, je pus ressentir et observer le vide juste en dessous de moi. Je n'avais pas le vertige, je ne l'avais jamais eu. J'atterris quelques secondes plus tard sur le toit mouillé du bâtiment. Je roulai sur moi-même avant de pouvoir me relever et courir à toute allure. Les hommes se trouvaient bloqués à la fenêtre.

En quelques sauts, j'atterris en bas du bâtiment, dans une ruelle, sans aucune égratignure. Un homme se trouvait là, un long manteau noir et une capuche lui recouvrant le crâne. Sans rien demander, j'abattis mon poing sur sa joue. Il tomba net. J'échangeai nos manteaux et rejoignis une allée un peu plus fréquentée.

***

Je pénétrai dans l'hôtel dans lequel je séjournais. Un pas rapide, ma capuche sur la tête. Je saluai rapidement l'hôtesse d'accueil avant d'appuyer sur le bouton appelant l'ascenseur. Ce dernier s'ouvrit directement. Ma chambre se trouvait au cinquième étage. Un homme rentrait avec moi dans l'ascenseur, il ne semblait pas suspect. Depuis que je les traquais, je voyais le mal absolument partout, en tout le monde, ça en devenait maladif. Heureusement pour moi, il y avait encore certaines personnes en qui je pouvais faire confiance, même si elles restaient peu nombreuses.

Une fois dans ma chambre, je jetai le manteau que j'avais récupéré sur mon lit défait et m'installai sur la chaise en face du bureau. J'ouvris le petit ordinateur portable noir qui était posé sur ce dernier. Il s'allumait tandis que j'attrapais mes écouteurs et envoyai directement un message sur le logiciel installé. Quelques secondes plus tard, un grésillement se fit entendre avant que je perçoive la voix habituelle de l'un de mes seuls amis.

-Alors, comment s'est passé le rendez-vous ? Me lança-t-il d'un ton enthousiaste.

Je soupirai, la mine sombre.

-C'était un piège, enfin plus ou moins. Il s'est avéré que le patron a envoyé tous ses clients sur moi...

-Oh...

-Oui, répondis-je automatiquement avec une pointe de lassitude.

-Merde, souffla-t-il. On va devoir trouver une nouvelle piste alors...

Je soupirai une nouvelle fois, c'était devenu une habitude en ce moment.

-Ou alors, on laisse tomber, soufflai-je à mon tour.

-Quoi ?! S'écria-t-il. Sûrement pas !

-Écoute Lee, c'est vraiment sympa de t'être donné tout ce mal depuis quelques mois. Je sais que tu veux aider, mais les recherches ne mènent à rien ... À chaque fois on se trompe ou alors on tombe dans un piège. L'organisation n'existe plus, je ne vois pas pourquoi on continue.

-T'es en train de me dire que tu veux une vie normale ?

-Tu sais bien que j'aurai jamais une vie normale. Pas avec ... mon... << truc >>.

-N'aie pas peur de dire le mot. Pou-...

-Arrête ! Criai-je. Ce n'est pas un pouvoir, c'est juste un stupide don qui m'a gâché la vie.

-C'est pour ça qu'on ne doit pas arrêter. S'ils n'étaient pas intervenus, tu aurais, certes, eu ce don, mais il n'aurait pas été aussi... encombrant. Tu le sais très bien Alex.

J'attrapais la bouteille d'eau sur le coin du bureau, laissant notre conversation en suspend quelque secondes. Je n'avais pas soufflé depuis des semaines, voir des mois. J'étais épuisée. J'avais besoin de faire une pause, de me ressourcer. Au moment où j'allais annoncer ma décision de lever le pied, Lee déclara :

-Écoute, j'ai pas voulu t'en parler au début, mais j'ai une piste. Une grosse.

Je m'accoudai au bureau, les yeux à moitié fermés. Il continuait.

-Je voulais attendre ton retour du bar pour t'en parler.

-Vas-y, lance-moi encore une de tes innombrables trouvailles qui s'avérera être décevante, comme toutes les autres, lançais-je lasse.

Il soupira derrière son micro.

-Je fais ça pour toi Alexy. Je fais ça pour que tu puisses plus tard vivre heureuse. Ne plus penser à tout ça.

-Comment est-ce que tu veux que je ne pense plus à tout ça Lee ! Hurlais-je à plein poumons.

Quelqu'un toquait à ma porte. Je retirai l'un des écouteurs.

-Madame ? Tout va bien ? Demanda une petite voix.

Mon coeur se mit à battre la chamade. Et s'ils m'avaient retrouvée ? Et s'ils savaient que j'étais ici ? Qu'ils avaient trouvé la planque de Lee ? Qu'en ce moment, il avait un flingue posé sur la tempe ?

Il me suffit de quelques seconde de concentration pour voir qu'il n'y avait qu'une femme derrière cette foutue porte, plutôt vieille, du linge probablement propre dans les mains.

-Oui ! Répondis-je en essayant de me calmer.

C'était ce genre de réaction qui me faisait réagir. Plutôt logique. Je vivais constamment dans la peur de les voir un jour débarquer, m'attraper et prendre encore une fois tout ce que j'avais. La femme s'en alla. Je bus une gorgée et remis en place l'écouteur.

-Vas-y, je t'écoute, déclarais-je avec conviction.

-Alors voilà. J'ai parlé du type que t'es allé voir tout à l'heure à un contact. On a réussi à retrouver un de ses amis, mais aussi ancien collègue. Et il s'avère que ce collègue est maintenant médecin. On peut facilement en déduire qu'il travaillait dans le département médical lorsqu'il faisait partie de l'organisation. Surtout en regardant son parcours scolaire. Et toi, où est-ce que tu étais détenue lors de ton long séjour chez les Fraternels ?

-La zone médicale, enfin je crois qu'ils appelaient ça comme ça.

-Tu commence à comprendre le lien ?

-Je l'avais compris depuis un moment Lee... Où est-ce qu'il est ?

-Jersey City, dans le New-Jersey.

-J'en sais rien...Ça mènera peut-être à rien encore une fois.

-Alexy, commença-t-il en prenant une voix sérieuse, il se passe des trucs de dingue dans le monde, des trucs inexplicables.

-Des trucs inexplicables comme une attaque extraterrestre à New-York ? C'est ça ?

Je ricanais doucement jusqu'à ce que je m'aperçoive que Lee ne me suivait pas.

-Tu fais partie de ces << trucs inexplicables >>. Alors ne gâche pas tout.

-J'ai besoin de réfléchir Lee...

-Arrête, je sais très bien que t'a décision est déjà prise. Et tu le sais aussi.

Lee et moi, ça faisait plusieurs années. Mais ça avait prit du temps avant que je lui fasse confiance. Au début, il ne m'aidait pas beaucoup : il le voulait, mais pas moi. C'était le genre de personne à s'extasier pour rien. Le genre de geek qui possède une centaine de figurines de super-héros et qui écrit des fanfictions sur les Avengers. Bien sûr, quand je lui avais révélé mes capacités extraordinaires telles que ma force surhumaine, ma vitesse supérieure à celle d'un humain normal, les flux d'énergies qui pouvaient parfois devenir imprévisibles bien que souvent utiles dans une situation délicate, ou encore... enfin bref, il avait adoré . Même s'il avait eu un peu peur. Après tout, ça faisait peur à tout le monde ce genre de chose. Même si je me trouvais relativement normale comparé à certains super-héros qui se montraient en public -Hulk me terrifiait-. À partir du moment où je lui avais révélé mon grand secret, il faisait partie intégrante de mon univers. Il était devenu mon seul véritable ami, la seule personne à qui je puisse parler sans craindre qu'il ne me poignarde dans le dos, sans avoir peur qu'il m'annonce un jour qu'il faisait partie de la Fraternité : l'organisation qui m'avait tout pris. L'organisation qui avait gâché ma vie. Et pourtant, je n'avais vu Lee qu'une fois. Un brun, la vingtaine, d'origine asiatique et portant d'affreuses lunettes rondes. L'archétype parfait du geek.

Ça valait le coup. Tenter une dernière fois, essayer d'en finir une bonne fois pour toute. De toute façon, je n'avais rien à faire demain ou encore après-demain. J'avais tout mon temps.

-Ok, réserve-moi un billet en direction de Jersey City.

-Yes ! Hurla-t-il tout en frappant dans ses mains. Avion ? Bus ? Train ?

-N'importe. Je te recontacte dans vingt minutes, il faut que j'aille prendre ma douche.

J'éteignis l'ordinateur, un léger sourire sur les lèvres. Savoir Lee heureux, me rendait heureuse. Et il était rare que j'ai le sourire aux lèvres dans ce monde.

J'attrapais ma serviette et rentrais dans la salle de bain. Je ne pouvais pouvais cesser de me fixer dans le miroir. J'aurais pu être belle si je n'avais pas eu ce crâne rasé. Heureusement qu'il restait une mini épaisseur rousse. Mes cheveux repoussaient très lentement. Un jour peut-être, ils atteindraient une longueur plus ou moins normale. Au moment où j'allais retirer mon tee-shirt, une vive douleur me saisit. Elle se situait dans ma tête. Une seconde plus tard, je pouvais les sentir. Je fermai les yeux et les rouvris quasi instantanément. Je pouvais les voir, dans les couloirs de l'hôtel. Mes yeux s'écarquillèrent. Je ne savais pas qui ils étaient mais je devais partir. J'ouvris la porte de la salle de bain en vitesse, pris mes quelques affaires et les enfouirent dans mon sac. Je m'équipais du manteau que j'avais volé et attrapais rapidement mon sac à dos.

J'ouvris la fenêtre. Ma chambre était vraiment haute. En même temps, les hôtels de Brooklyn étaient régulièrement en hauteur, tout comme tout bon hôtel de New-York qui se respecte. Heureusement pour moi, en face de ma chambre se trouvait un autre bâtiment. Un peu plus bas, certes, mais je pouvais facilement atteindre le toit de ce dernier. Une bonne dizaine de mètres séparaient ma chambre de la toiture, une dizaine de mètre de vide. Jamais je n'avais sauté d'aussi loin, mais il y avait un début à tout, comme on dit.

J'inspirais profondément, expirais à la suite, prit mon élan alors qu'on venait de frappé à ma porte. Et dans un élan de courage, je sautais.

Note de l'auteur :

J'espère que ce chapitre vous a plu, n'hésitez pas à me dire ce que vous en avez penser ;) Voter si vous le voulez, continuer si vous le voulez ^^

Je remercie beaucoup Lumirias qui a corrigé ce chapitre :D

Laisser un commentaire ?